Le vêtement, moyen d’expression identitaire
par excellence, a toujours positionné qui le portait dans une case socio-culturelle, comme si l’habit faisait le moine.
Bon, pourquoi pas, mais çà finit par créer quelques déséquilibres tout çà !
Derrière nos belles vitrines de magasins, que voit-on ?
Du rêve, certes, mais si on regarde un peu plus en détail ?
Un équilibre menacé par la surexploitation des ressources naturelles, la surconsommation, la pollution…
Un déséquilibre entre les besoins considérés comme vitaux des pays du Nord, les consommateurs (on cherche à posséder toujours plus, surtout en matière de mode) et les répercutions sur ceux des pays du sud, les producteurs (survivre est déjà un problème quotidien).
Soit dit en passant, une petite réflexion existentielle profonde : qu’est ce qu’on fera quand, dans notre frénésie de l’achat, de la possession, du renouveau, on aura épuisé toutes les ressources naturelles de notre chère planète, bande de gros malins ?
Et bien on ne pourra plus produire de vêtement et là, on aura tout gagné ! Adieu nos précieuses coquetteries capricieuses : on sera obligé de porter des sacs à patates piquants, qui sentent la chèvre !
On dira pas qu’j’ai pas prév’nu !
Soit dit en passant bis, je ne roule pas en carriole, ne collecte pas de composte pour mes toilettes, ne porte pas QUE des vêtements « Ecologicly correct », mais je me soigne !
Si j’en suis capable, c’est bien qu’on peut démocratiser, vulgariser ces thématiques au grand public, et contribuer au développement de nouveaux comportements éco citoyens.
Tout çà pour dire qu’il est possible et facile de réagir.
On ne sauvera peut-être pas la planète en papotant, mais on peut déjà se familiariser avec des p’tits trucs éthiques, qui feront moins de mal à ses habitants, par exemple :
Manger :
Mangeons un peu plus de bio, pour ne pas être réduit, dans quelques années, à consommer un régime mono-diét’ de la seule denrée qu’il restera sur la planète : nous.
Bouger :
Emettons un peu moins de carbone en se déplaçant « green » (même si ce terme commence un peu à m’%#oOo#*), pour ne pas finir sur un seul et unique continent, entassés comme dans le métro un jour de grève (et là le réchauffement ne sera pas que climatique).
(.Com :
Ok trop drôle !)
Trier :
Facile, je suis sure que c’est déjà votre cas.
Porter :
Essayons de porter davantage des messages plus que des vêtements, pour ne pas être responsable d’un Germinal Revival, non plus dans les mines, mais dans les usines de production de textile : ce serait vraiment trop moche !
On peut faire évoluer une macro économie, en agissant au niveau « micro » de notre environnement, créer un cercle vertueux : si les consommateurs achètent de façon plus consciente, mieux, moins, la production requises pour la satisfaction de nos besoins sera réduite, donc les ressources nécessaires moindres, donc les effets sur l’environnement seront bénéfiques. Et un environnement plus sain, assainit notre alimentation, notre santé, celle de nos enfants, etc., etc.
Sur ces réflexions, et loin de moi la volonté de m’ériger en modèle, en moraliste ou en spécialiste (oulaaaaaah mes malheureux), je vous laisse à vos commentaires, c’est pas tout çà mais j’ai un monde à sauver !
tu tu lututuuuuuuuu…
You might also like
More from Non classé
Episode 10 – Humain, inclusion, diversité dans la mode : Think Tank We Love Green et Fashion Revolution France
Le futur de la mode dans un standard « responsable » ne se définit pas uniquement dans la conception de …
Episode 5 (1/3) – Transformation durable et réaliste de la mode, challenges et solutions : avec les étudiants de l’Institut Français de le Mode, Riccardo Bellini, PDG de Chloé, Xavier Romatet, Directeur général de l’IFM.
Quels sont les principaux challenges, business models et solutions pour la transformation durable et réaliste de la mode ? Où …
Spécial Fête d'Eco-mères !
Fêter l'amour durablement avec la sélection fête des mères eco)friendly de WA (off)